Répondez aux questions suivantes en cochant la bonne réponse. Les cinq premières correspondent à la compréhension de l'oral. Activez le player. Écoutez l'enregistrement une seule fois et répondez aux cinq premières questions.
A) COMPRÉHENSION DE L'ORAL
Le film de Suzette Laplace:
a été présenté lors d'un congrès l'année précédente.
a été présenté le matin de ce colloque.
sera présenté lors de ce colloque.
Je ne sais pas.
Ce film donne une vision de Marie-Claire Blais:
Optimiste
pessimiste
mitigée
Je ne sais pas
Quelle image a l'écrivaine du monde?
Un monde immobile qui n'a pas d'âge.
Un monde qui évolue sans cesse.
Un monde qui souffre du passé.
Je ne sais pas.
Quelles facultés ont les écrivains?
Expliquer le passé.
Montrer le présent.
Anticiper l'avenir.
Je ne sais pas.
Quand elle parle de destruction de notre terre, Marie-Claire Blais parle:
du problème économique.
du problème politique avec l'expansion du fascisme.
d'un problème moral concernant les attitudes humaines.
Je ne sais pas.
B. TEST DE LEXIQUE ET DE GRAMMAIRE
Choisissez l'expression correcte.
Les critères d'admission sont l'handicap visuel, associé à d'autres handicaps.
L'héroïne du roman tombe amoureuse d'un rustre.
Elle joue de l'harpe comme une virtuose.
Je ne sais pas
Choisissez l'expression correcte
Nous ne sommes plus enfants
Nous n'avons pas des enfants
Nous n'avons point d'enfants
Je ne sais pas
Choisissez l'expression correcte
Il en a eu tort
Il en a fait semblant
Il l'y introduit
Je ne sais pas
Ce grand timide (.......................) un vif sentiment d'admiration pour sa cousine.
sent
éprouve
tient
Je ne sais pas
Ils étaient venus à notre rencontre comme pour nous prendre (....) la main
par
de
à
Je ne sais pas.
J'ai été pris pour un fou (....) j'étais bien classé
grâce à
comme
d'autant que
Je ne sais pas
(...) un des ses films est programmé, je ne le manque pas
Depuis qu'
Tant qu'
Dès qu'
Je ne sais pas
(...) il y aura des acteurs comme lui, le cinéma se portera bien.
Pendant qu'
Lorsqu'
Tant qu'
Je ne sais pas
À 12 ans j'ai commencé à faire des études de danse classique. (...) je suis devenue danseuse professionnelle.
Dès ce moment
Plus tard
Désormais
Je ne sais pas
Pour finir, racontez-nous (...) vous attendez de votre avenir.
ce que
qu'est-ce que
ce à quoi
Je ne sais pas
Dites-nous comment cela (...)
s'est-il passé
s'est passé
a passé
Je en sais pas
En 1957, il est devenu père pour la première fois de sa vie (...) il tournait son premier film.
alors qu'
aussitôt qu'
tant qu'
Je ne sais pas
18.Seuls 60% des gens interrogés se disent "très fiers" de leur appartenance nationale, (....) ils étaient 80 % en 1895.
bien qu'
alors qu'
pourtant
Je ne sais pas.
19.Le magazine appelle à (...) un nouveau discours.
parler
recourir
inventer
Je ne sais pas
Le bimensuel québécois se fait l'écho d'un récent (....)
sondage
étude
statistique
Je ne sais pas
21.Le drapeau à la feuille d'érable n'a donc visiblement plus la cote chez lui. (....) , à l'étranger, l'image du Canada n'a jamais été aussi bonne.
Alors que
Quoique
En revanche
Je ne sais pas
Il s'agit d'un nouveau genre littéraire (....) l'ampleur ne fera que croître au vingtième siècle.
où
dans lequel
dont
Je ne sais pas.
Cette demande exprimée au Gouvernement permettrait de façonner les esprits dès leur plus jeune âge. (....) l'acquisition des mauvaises habitudes serait-elle évitée.
Donc
C'est pourquoi
Aussi
Je ne sais pas.
Et, quand bien même il (....) de l'argent, rien à acheter ne se présente pour éveiller aucun désir.
avait
aurait
ait
Je ne sais pas.
Ne dévalorisez ce qu'elle (....) ni l'objet de son amour.
prouve
éprouve
sent
Je ne sais pas
L’ouverture des magasins le dimanche nous donnerait plus de temps pour faire (....) courses.
nôtres
nos
nous
Je ne sais pas.
Je veux, d’un côté bien faire mes achats pour joindre les deux bouts, (....) acheter les produits au meilleur rapport qualité-prix.
d’autre côté
par ailleurs
d’un autre côté
Je ne sais pas.
Elle a passé son après-midi (....).
en écrivant
à écrire
en train d'écrire
Je ne sais pas.
Choisissez la bonne option:
Cet article s’agit de la violence dans notre société.
La violence est un problème qui concerne tout le monde.
En ce qui concerne à la violence, nous avons tous notre mot à dire.
Je ne sais pas.
30. Quel verbe n’a pas de construction pronominale?
dire
promener
tomber
Je ne sais pas.
La retraite, j’en ai (....) rêvé!
aussi longtemps
autant de temps
si longtemps
Je ne sais pas
"Je lui en veux" veut dire :
je ne lui pardonne pas.
je suis jaloux d’elle.
je suis amoureux d’elle.
Je ne sais pas.
Dans ce domaine, chacun fait comme bon (....) semble.
le
lui
leur
Je en sais pas.
Choisissez la bonne option:
Cet acteur s’est mort dans un accident de voiture.
Il s’est mis en colère sans qu’on comprenne pourquoi.
Les gens se sont manifestés contre les mesures du gouvernement.
Je ne sais pas.
Les pays occidentaux ont une population (....).
ancienne
âgée
vieille
Je ne sais pas
Pour envisager un avenir soutenable il faudrait produire (....) emballages.
moins d(e)
moins des
moins
Je ne sais pas.
C) COMPRÉHENSION DE L'ÉCRIT
Lisez le texte suivant et répondez aux questions en cochant la bonne réponse.
Considérons un peu notre système d'éducation et d'enseignement. Je suis bien obligé de constater que ce système, ou plutôt ce qui en tient lieu, (car, après tout, je ne sais pas si nous avons un système, ou si ce que nous avons peut se nommer système), je suis obligé de constater que notre enseignement participe de l'incertitude générale, du désordre de notre temps. Et même il reproduit si exactement cet état chaotique, cet état de confusion, d'incohérence si remarquable, qu'il suffirait d'observer nos programmes et nos objectifs d'études pour reconstituer l'état mental de notre époque et retrouver tous les traits de notre doute et de nos fluctuations sur toute valeur. L'enseignement montre donc son incertitude et le montre à sa façon. La tradition et le progrès se partagent ses désirs. Tantôt il s'avance résolument, esquisse des programmes qui font table rase de bien des traditions littéraires ou scientifiques; tantôt le souci respectable de ce qu'on nomme les humanités le rappelle à elles, et l'on voit s'élever, une fois de plus, la dispute infinie que vous savez entre les morts et les vivants, où les vivants n'ont pas toujours l'avantage. Je suis bien obligé de remarquer que, dans ces discussions et dans cette alternative, les questions fondamentales ne sont jamais énoncées. Je sais que le problème est horriblement difficile. La quantité croissante des connaissances d'une part, le souci de conserver certaines qualités que nous considérons, à tort ou à raison, non seulement comme supérieures en soi, mais comme caractéristiques de la nation, se peuvent difficilement accorder. Mais si l'on considérait le sujet lui-même de l'éducation: l'enfant, dont il s'agit de faire un homme, et si l'on se demandait ce que l'on veut au juste que cet enfant devienne, il me semble que le problème serait singulièrement et heureusement transformé, et que tout programme, toute méthode d'enseignement, comparés point par point, à l'idée de cette transformation à obtenir et du sens dans lequel elle devrait s'opérer, seraient par là jugés. Supposons, par exemple, que l'on dise: — Il s'agit de donner à cet enfant (pris au hasard) les notions nécessaires pour qu'il apporte à la nation un homme capable de gagner sa vie, de vivre dans le monde moderne où il devra vivre, d'y apporter un élément utile, un élément non dangereux, mais un élément capable de concourir à la prospérité générale. D'autre part, capable de jouir des acquisitions de toute espèce de la civilisation, de les accroître; en somme, de coûter le moins possible aux autres et de leur apporter le plus... Je ne dis pas que cette formule soit définitive ni complète, ni même du tout satisfaisante. Je dis que c'est dans cet ordre de questions qu'il faut, avant toute chose, fixer son esprit quand on veut statuer sur l'enseignement. II est clair qu'il faut d'abord inculquer aux jeunes gens les conventions fondamentales qui leur permettront les relations avec leurs semblables, et les notions qui, éventuellement, leur donneront les moyens de développer leurs forces ou de parer à leurs faiblesses dans le milieu social. Mais quand on examine ce qui est, on est frappé de voir combien les méthodes en usage, si méthodes il y a, (et il ne s'agit pas seulement d'une combinaison de routine, d'une part, et d'expérience ou d'anticipation téméraire, d'autre part), négligent cette réflexion préliminaire que j'estime essentielle. Les préoccupations dominantes semblent être de donner aux enfants une culture disputée entre la tradition dite classique, et le désir naturel de les initier à l'énorme développement des connaissances et de l'activité modernes. Tantôt une tendance l'emporte, tantôt l'autre; mais jamais, parmi tant d'arguments, jamais ne se produit la question essentielle: — Que veut-on et que faut-il vouloir? C'est qu'elle implique une décision, un parti à prendre. Il s'agit de se présenter l'homme de notre temps, et cette idée de l'homme dans le milieu probable où il vivra doit être d'abord établie. Elle doit résulter de l'observation précise, et non du sentiment et des préférences des uns et des autres, — et de leurs espoirs politiques, notamment. Rien de plus coupable, de plus pernicieux et de plus décevant que la politique de parti en matière d'enseignement. Il est cependant un point où tout le monde s'entend, s'accorde déplorablement. Disons-le: l'enseignement a pour objectif réel, le diplôme. Je n'hésite jamais à le déclarer, le diplôme est l'ennemi mortel de la culture. Plus les diplômes ont pris de l'importance dans la vie, (et cette importance n'a fait que croître à cause des circonstances économiques), plus le rendement de l'enseignement a été faible. Plus le contrôle s'est exercé, s'est multiplié, plus les résultats ont été mauvais. Mauvais par ses effets sur l'esprit public et sur l'esprit tout court. Mauvais parce qu'il crée des espoirs, des illusions de droits acquis. Mauvais par tous les stratagèmes et subterfuges qu'il suggère; les recommandations, les préparations stratégiques, et, en somme, l'emploi de tous expédients pour franchir le seuil redoutable. C'est là, il faut l'avouer, une étrange et détestable initiation à la vie intellectuelle et civique. D'ailleurs, si je me fonde sur la seule expérience et si je regarde les effets du contrôle en général, je constate que le contrôle, en toute matière, aboutit à vicier l'action, à la pervertir... Je vous l'ai déjà dit: dès qu'une action est soumise à un contrôle, le but profond de celui qui agit n'est plus l'action même, mais il conçoit d'abord la prévision du contrôle, la mise en échec des moyens de contrôle. Le contrôle des études n'est qu'un cas particulier et une démonstration éclatante de cette observation très générale. Le diplôme fondamental, chez nous, c'est le baccalauréat. Il a conduit à orienter les études sur un programme strictement défini et en considération d'épreuves qui, avant tout, représentent, pour les examinateurs, les professeurs et les patients, une perte totale, radicale et non compensée, de temps et de travail. Du jour où vous créez un diplôme, un contrôle bien défini, vous voyez aussitôt s'organiser en regard tout un dispositif non moins précis que votre programme, qui a pour but unique de conquérir ce diplôme par tous moyens. Le but de l'enseignement n'étant plus la formation de l'esprit, mais l'acquisition du diplôme, c'est le minimum exigible qui devient l'objet des études. Il ne s'agit plus d'apprendre le latin ou le grec, ou la géométrie. Il s'agit d'emprunter, et non plus d'acquérir, d'emprunter ce qu'il faut pour passer le baccalauréat. Ce n'est pas tout. Le diplôme donne à la société un fantôme de garantie, et aux diplômés des fantômes de droit. Le diplômé passe officiellement pour savoir: il garde toute sa vie ce brevet d'une science momentanée et purement expédiente. D'autre part, ce diplômé au nom de la loi est porté à croire qu'on lui doit quelque chose. Jamais convention plus néfaste à tout le monde, à l'État et aux individus, (et, en particulier, à la culture), n'a été instituée. C'est en considération du diplôme, par exemple, que l'on a vu se substituer à la lecture des auteurs l'usage des résumés, des manuels, des comprimés de science extravagants, les recueils de questions et réponses toutes faites, extraits et autres abominations. Il en résulte que plus rien dans cette culture adultérée ne peut aider ni convenir à la vie d'un esprit qui se développe. Paul Valéry, « Le bilan de l'intelligence », Variété III, 1936. Quel est le but poursuivi par Valéry dans ce texte?
Défendre l'environnement classique contre les nouveaux programmes.
Critiquer le manque de connaissances et de culture des médias.
Analyser et critiquer le système et l'enseignement de son époque.
Je ne sais pas
Le système éducatif:
reflète les incertitudes propres à la mentalité de l'époque.
est en contradiction avec la sociètè qui, elle, est chaotique.
permet de lutter contre la perte des valeurs.
Je ne sais pas.
Quelle est l'idée essentielle défendue par Valéry?
Les diplômes dégradent le rapport que l'élève entretient avec la culture.
Les diplômes ont au moins l'avantage de pousser les élèves à travailler davantage.
Les diplômes constituent le seul moyen d'inciter les élèves à se cultiver.
Je ne sais pas.
L'expression "des comprimés de science extravagante" désigne: